Una coppia insolita / Un couple inhabituel
by EuphrasiaViewed: 69 times Comments 0 Date: 11-09-2021 Language:
Quelques personnages que vous rencontrerez en lisant.
Lulu maitresse de maison, 55 ans, longs cheveux blonds, yeux bleus 1m73, 70kg
Al le mari de Lulu, 56 ans, châtain, cheveux courts, 1m83 80kg
Leurs enfants Claire (27 ans, l’aînée), Julien (26 ans, milieu) Virginie (20 ans, la cadette)
Margot amie d’enfance de Lulu, 54 ans
Phil notre ostéopathe depuis des années
Ludo & Vera un couple libertin ami depuis longtemps, 66 ans et 60 ans
Sara voisine black superbe mariée à Chris, 36 ans et 46 ans
Quelques autres intervenants que vous découvrirez pendant la lecture.
L’initiation
On m’appelle Lulu, j’ai vingt ans, hier, j’ai rencontré un homme qui me plait beaucoup, j’ai un rendezvous avec lui demain, je ne sais pas si je vais m’y rendre, j’ai toujours cette appréhension visàvis des hommes, voilà pourquoi.
Nous sommes en dixneuf cent quatrevingts, hier, j’ai fêté mes quatorze ans avec quelques copains et copines de classe. Aujourd’hui, je suis seule chez moi, mes parents sont partis faire des courses et doivent passer chez ma grandmère pour faire je ne sais quoi chez elle, j’ai prétexté des devoirs, je suis donc restée à la maison. Ils ne seront pas là avant dixneuf heures. J’en ai profité pour donner rendezvous à un copain, Jean Charles, il doit arriver d’un instant à l’autre. C’est le frère d’un camarade de classe, il a dixsept ans, trois de plus que moi, j’ai l’impression qu’il m’aime bien. J’ai la ferme intention de le draguer pour qu’il me fasse l’amour. Je veux devenir femme, ça devient une obsession chez moi, j’ai quatorze ans depuis hier, et je ne veux pas être encore vierge à quatorze ans et deux jours. Il a trois ans de plus que moi, il doit savoir faire l’amour à une fille. Beau comme il est, il doit avoir fait l’amour à plein de filles. Je ne veux pas le faire pour la première fois avec un garçon qui ne l’a jamais fait, il ne saura pas quoi faire, et ça risque de ne pas être très agréable. Je l’attends de pied ferme.
Sans fausse modestie, je suis une belle jeune fille, assez grande pour mon âge, jolie, belle petite poitrine haute et ronde que maman m’oblige à soutenir avec un soutif, mais je déteste ça, je me sens engoncée, prisonnière. Très belles fesses que j’adore, bien hautes et bien rondes qu’encore une fois maman m’oblige à cacher avec une culotte, c’est plus hygiénique qu’elle dit, je déteste ça aussi, j’aime bien laisser mon corps libre. Je suis toujours nue dans ma chambre, je me déshabille complètement dès que je sais que je ne vais plus en sortir, j’aime bien cette sensation de liberté, évidemment, je ferme la porte à clé. Mais, ce que je préfère dans mon corps, depuis que j’ai découvert avec une amie le plaisir qu’il pouvait me donner, c’est mon sexe. J’adore mon pubis bien rebondi, mon vagin doux et humide, mes lèvres souples, mais surtout, mon clitoris qui transforme mon corps en gigantesque feu d’artifice quand je le caresse avec mes doigts. J’ai découvert ça il y a deux ans avec mon amie d’enfance Sophie, un samedi ou nous étions seules chez elle, ses parents étaient partis chercher une nouvelle maison là où son père allait être muté pour son travail. Il faisait très chaud, je vous raconte.
Nous sommes dans sa chambre, sur son bureau, nous jouons sur sa console Atari 2600 que son père a ramené des Etats Unis pour ses douze ans. Il faut dire que la maison de ses parents est un peu spéciale, elle est décomposée en plusieurs modules que chacun des enfants occupent, chacun le sien, seule la salle à manger et la cuisine sont en commun. Sophie, sa sœur ainée de quinze ans et son frère de treize ans ont chacun leurs module constitué d’une chambre, d’une salle de bain et d’un WC, dans lequel ils font ce qu’ils veulent, personne ne vient la déranger, à condition que la scolarité soit parfaite. Ce doit être pour ça qu’elle est toujours première. Mais le manuel du jeu Combat, le seul disponible, est en anglais, nous ne sommes pas encore assez forte pour tout comprendre malgré le dictionnaire. Et comme elle possède une des rares consoles en Belgique, ça vient de sortir aux Etats Unis, on ne peut même pas téléphoner à des copains ou copines, personne n’en a. Il fait une chaleur à crever, nous sommes toutes les deux en nage, je ne supporte pas bien cette chaleur écrasante, et elle non plus, elle se lève.
–Quelle chaleur, je ne supporte plus ces vêtements, mon corps ruissèle, ils collent à ma peau, je commence à puer la sueur. Je vais prendre une douche, ça va me faire du bien et me détendre.
Elle se déshabille entièrement devant moi, c’est la première fois qu’elle fait ça en ma présence, et va dans sa salle de bain. Je reste dans sa chambre, j’entends la douche couler, ça dure quelques minutes, mais j’entends aussi une sorte de gémissement qui vient de la salle de bain. Prise de panique pour mon amie, pensant qu’elle a eu un malaise, je me précipite vers elle. Je la trouve assise au fond de sa douche, les jambes grandes ouvertes avec deux doigts sur le haut de son sexe qui fond des cercles rapides. Elle lève la tête quand elle me voit entrer dans la pièce, elle a un drôle de regard, un peu perdu, mais n’arrête pas le mouvement de sa main sur son sexe jusqu’à ce qu’elle ouvre sa bouche comme si elle voulait respirer un grand coup, serre ses cuisses sur ses doigts et gémisse.
–AAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHH
Je la regarde médusée, son corps est secoué dans tous les sens, elle sursaute, j’ai l’impression qu’elle n’est plus là, qu’elle souffre, je commence à être inquiète. Je ne sais que faire, mais je me rassure quand je vois qu’elle relève la tête et qu’elle me sourit. Son visage est magnifique, resplendissant de bonheur. Mais que lui estil donc arrivé ?
–Mais que t’estil arrivé ?
–Je viens de me branler ?
–De te quoi ?
–De me faire jouir en me titillant le petit bouton.
Elle se lève, c’est la première fois que je la vois entièrement nue devant moi depuis cinq ans, nos mères nous avez fait prendre un bain ensemble chez moi car nous nous étions un peu salies en faisant de la peinture. Contrairement à moi, elle n’a pas de poils, son sexe est toujours lisse, moi, ils commencent à pousser, mais elle a des seins qui commencent à se développer, comme les miens, on les distingue à peine, c’est normal, nous n’avons que douze ans. Mais surtout, elle a de magnifiques fesses qui commencent à s’arrondir, un peu plus que les miennes. Elle vient vers moi.
–Tu ne te branle pas ?
Je la regarde complètement ahurie, je ne comprends pas ce qu’elle me demande.
–Me branler ?
–Tu ne te caresse pas ton bouton ?
–Quel bouton ?
–Ce n’est pas possible, tu ne sais pas ?
–Je ne sais pas quoi ?
–Que quand on titille notre petit bouton, on jouit.
–Je ne comprends rien à ce que tu me dis, tu m’énerves !
Je fais demitour pour quitter la salle de bain vexée de ne rien comprendre de ce qu’elle me dit.
–Lulu, reste s’il te plait.
Je m’arrête et fais demitour, elle vient vers moi. Elle pose ses mains sur mes épaules.
–Ecoutes, je vois que tu n’as pas encore découvert la fonction du petit bouton qu’on a en haute du sexe. Je dois dire que je ne le sais moimême que depuis à peine trois mois, c’est ma cousine qui m’a fait voir pendant les vacances de pâques.
–Quelle cousine ?
–Gabrielle, tu la connais bien ?
–Oui, mais elle a quinze ans.
–Oui, mais elle m’a quand même fait voir.
–Faire voir quoi ?
–Comment se donner du plaisir avec son bouton.
–Quel bouton ?
–Tu veux que je te fasse voir.
Je ne comprends absolument rien à ce qu’elle me dit, pour moi, le sexe sert à faire pipi, c’est tout. J’ai bien eu quelquefois une drôle de sensation venant de lui, mais comme ce n’était pas désagréable, je n’y ai pas porté attention. Mais je ne veux pas passer pour une demeurée visàvis de mon amie.
–Oui, bien sûr.
–Alors, déshabilletoi, viens avec moi sous la douche.
–Me déshabiller ?
–Lulu, nous sommes entre nous, je suis bien nue devant toi, et il me semble que c’est nécessaire pour aller sous une douche, tu verras, c’est super sous cette cascade d’eau.
Je me déshabille d’autant que je crève de chaud, et que j’ai envie de me rafraîchir depuis un certain temps. En plus, j’aime être nue, je découvre mon corps qui se forme pour passer à l’âge adulte, j’aime me regarder dans la glace. Je vais la rejoindre sous la douche, elle est déjà assise dans le bac appuyée contre une des parois, les jambes ouvertes. Je m’assoie à côté d’elle. Je suis bien, nue sous cette douche avec mon amie à côté de moi.
–Ouvre tes jambes et fais exactement ce que je fais.
J’ouvre mes jambes, je sens l’eau tomber sur le haut de mes cuisses, ça déclenche une drôle de sensation dans le bas de mon ventre. Elle joint l’index et le majeur et les pose en haute de son sexe, j’en fais autant.
–Tu sens ce truc, comme une petite boule sous tes doigts.
–Non.
–Tu ne sens rien ?
–Non.
–Juste en haut du sexe.
–Je ne sens rien.
–Tu permets ?
–Bien sûr.
Elle pousse ma main et pose ses doigts en haut de mon sexe et tâtonne. D’un seul coup, elle s’immobilise, je ressens encore un fois cette drôle de sensation.
–Là, tu sens bien quelque chose.
–Oui, et c’est bizarre quand tu le touches.
–Mets tes doigts à la place des miens et fais comme moi.
Je pose mes doigts au bon endroit, je sens comme un point plus dur, et toujours cette sensation bizarre, mais très agréable. Je leurs fais faire un mouvement circulaire pratiquement sur place, comme elle le fait sur son propre sexe. Il se passe quelque chose de bizarre dans mon corps, je sens comme des ondes qui irradient de mon sexe pour le parcourir, plus je continue et plus c’est fort. Je vois qu’elle accélère ses mouvements, j’en fais autant. Ça devient de plus en plus fort, l’onde grossie, elle se diffuse dans mon corps, je sens comme des picotements dans mes jambes, mon ventre, tout mon corps. D’un seul coup ces picotements se transforment en un gigantesque feu d’artifice qui embrase tout mon corps, je me crispe, je suis tendue, mais surtout, je ne peux pas m’empêcher de hurler.
–Oh lala, oh lala, AAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHH, oooohhhh, oh lala, oh lala maman, maman que m’arrivetil, oh lala, oh lala, oh lala, AAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHH.
Mon corps est secoué de spasmes, je suis comme tétanisée par une force herculéenne qui me soulève dans les airs, je ne suis plus moimême, je ne vois plus rien, je ne sens plus rien que ce formidable embrasement de mon corps. Je suis tendue comme un arc, mais je suis au nirvana, au septième ciel, dans la stratosphère, dans un pays fait de douceurs et de plaisir, je suis tellement bien. Jamais je n’ai ressenti un tel bien être dans toute ma vie, c’est une chose nouvelle pour moi, mais je comprends instantanément que ça va faire partie de toute ma vie. Je reviens lentement à la réalité. Sophie me regarde en souriant, elle dépose un baiser sur mon front, elle aussi, je l’ai plus ou moins entendu crier dans mon délire.
–Heureusement qu’on est seules, tu as hurlé, ça t’a plu ?
–Tu ne peux pas savoir à quel point, c’était extraordinaire, une sensation inoubliable, que m’estil arrivé.
–Tu as jouis Lulu, tu as joui.
–J’ai joui ?
–Oui, tu as joui, c’est la première fois ?
–Oui, et c’est divin.
–Et tu n’as pas tout vu.
–Il y a autre chose.
–Regarde, ne bouges pas.
Elle se lève et va décrocher le pommeau de la douche. Elle reprend sa place.
–Fais comme moi.
Elle écarte au maximum ses jambes et fouille dans son sexe pour dégager ce qu’elle appelle son bouton.
–Tu vois, il est caché sous cette petite peau, tu peux le dégager.
Je l’imite et dégage mon bouton. Je ressens une nouvelle fois cette drôle de sensation. Elle prend le pommeau de la douche, règle le débit sur un jet concentré et l’oriente sur mon bouton en l’approchant à cinq centimètre juste audessus. Au contact du jet du pommeau, je suis secouée par un énorme frisson, cette sensation étrange revient, comme tout à l’heure, mon corps commence à être envahi par des ondes douces, je ne peux empêcher mon ventre d’onduler, les ondes augmentent d’intensité, mais plus lentement que tout à l’heure. Je vais jouir encore une fois, j’en suis sûre, je vais encore vivre ce merveilleux moment de bonheur, je me donne à ce nouveau plaisir pour moi. Doucement, ces ondes se transforment en picotements qui, eux même, se transforment une nouvelle fois en feu d’artifice.
–AAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHH, oh lala, oh lala, oh lala, oh lala.
Une nouvelle fois, mon corps est transporté dans un monde de douceur et de plaisir, je me concentre sur ces ondes merveilleuses qui le parcourent et se diffusent partout. Je reviens lentement à la réalité pour voir Sophie qui a dirigé le jet du pommeau sur son bouton, elle ondule du bassin et commence à se raidir. Elle ferme les yeux et serre ses cuisses.
–AAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHHHH
Elle est tendue en tenant le pommeau audessus de son sexe, elle finit par le lâcher, je reçois le jet sur la figure, j’attrape le pommeau pour le remettre à sa place et ferme l’eau. J’ai du mal à me lever, mes jambes flageolent un peu. Je vois qu’elle est revenue à elle, je l’aide à se lever.
–Alors ma Lulu, ça t’a plu ?
–Oui, beaucoup, je crois que je vais me branler souvent, j’adore cette sensation.
–Je peux te dire que tu n’es pas la seule, moimême, je me branle tous les jours, le matin en prenant ma douche et souvent le soir dans mon lit.
Nous nous séchons et retournons dans sa chambre, nous restons nues, il fait trop chaud pour s’habiller, mais passons le reste de l’aprèsmidi à essayer de jouer sur sa console. Il n’y a jamais rien eu de sexuel entre nous, à part cet aprèsmidilà. Le soir, dans mon lit, j’ai caressé mon petit bouton pour jouir une nouvelle fois.
Fine prima parte, mi dispiace ma l'avendo scritto in francese perché é piu facile per me, spero che vi piacerà.